Le roi narre à celui qui l’entend
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Le roi narre à celui qui l’entend
Le roi narre à celui qui l’entend
Dans une longue nuit d’hiver
Le roi narre à celui qui l’entend
L’histoire étrange d’un désert
L’ayant hissé par le sable mouvant
Au sommet d’un palmier royal
Il conte à celui qui l’écoute
Le récit d’une maison ancestrale
Lui ouvrant toutes les portes.
Le roi est heureux de réunir
Les charlatans et les saints,
Pour parler sans laisser murir
L’idée, prés de lui les célestins
Savent faire danser les serpents
Venimeux et interpréter les signes
Diverses que fassent les paons
Avec leurs queues et les cygnes
Avec leurs cous, ils expliquent
Aussi les images que reflètent
Les flots perpétuels des répliques
Sur les bouches restées muettes
Dans l’ombre d‘un univers
Sibyllin, où le gorille de son
Refuge légifère à chaque heure
Sous la protection d’un lion
Nommé maître suprême
De ce monde. De sa royauté
Le prince souverain aime
Parler, défendre l’humanité
Et voyager sur les tourbillons
Du sable, où les torchères
Alimentent les mystères profonds
De cette modernité ordurière
Que les royautés instaurent
Et les républiques confortent
Par des actes contre nature,
Qui ouvrent grande la porte
Des malheurs aux populations
Subissant les outrages des pouvoirs
Antiques par la perversion
Qui troublent nos mémoires.
Dad Allaoua
Dans une longue nuit d’hiver
Le roi narre à celui qui l’entend
L’histoire étrange d’un désert
L’ayant hissé par le sable mouvant
Au sommet d’un palmier royal
Il conte à celui qui l’écoute
Le récit d’une maison ancestrale
Lui ouvrant toutes les portes.
Le roi est heureux de réunir
Les charlatans et les saints,
Pour parler sans laisser murir
L’idée, prés de lui les célestins
Savent faire danser les serpents
Venimeux et interpréter les signes
Diverses que fassent les paons
Avec leurs queues et les cygnes
Avec leurs cous, ils expliquent
Aussi les images que reflètent
Les flots perpétuels des répliques
Sur les bouches restées muettes
Dans l’ombre d‘un univers
Sibyllin, où le gorille de son
Refuge légifère à chaque heure
Sous la protection d’un lion
Nommé maître suprême
De ce monde. De sa royauté
Le prince souverain aime
Parler, défendre l’humanité
Et voyager sur les tourbillons
Du sable, où les torchères
Alimentent les mystères profonds
De cette modernité ordurière
Que les royautés instaurent
Et les républiques confortent
Par des actes contre nature,
Qui ouvrent grande la porte
Des malheurs aux populations
Subissant les outrages des pouvoirs
Antiques par la perversion
Qui troublent nos mémoires.
Dad Allaoua
Dad Allaoua- Messages : 3599
Date d'inscription : 19/01/2010
Localisation : KERKERA
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