Tu fus un sombre aigrefin
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Tu fus un sombre aigrefin
Tu fus un sombre aigrefin
Ton esprit avait vite tourné
Du coté des choses frivoles,
Emporté par un air étonné
Tu imitas l’oiseau de haut vol.
Tu fus un sombre aigrefin
En peau d’un être ingénu,
Qui crut faire de son destin
Le germe des idées cornues.
Ployant sous les envies infinies
Tu te laissas mener sur l’ombre
De l’ignorance par la folie
Animant la scène macabre.
Homme de caste en quête
De l’excellence trompeuse
Qui eut voulu extraire sa tête
De linotte de la boue crasseuse.
Emporté par une fiction
Tragique, tu te comportas
En finaud par les affronts
Mornes qui ne finirent pas.
Tu n’entendis pas les cris
Des autres, le soleil frôla
Ton corps, mais en ton esprit
La haine horrible s’ancra.
Dans mon profond silence
Tu n’eus jamais su deviner
L’énigme de l’attirance
Qui rendit ton âme peinée
Loin d’oublier la trahison
Des pensées, qui, au fur du temps
Tendit dans ta main le poison
Qui souilla les liens du sang.
Je savais depuis longtemps
Que les roses longeant ton chemin
Seront déracinées par le vent
De panique qui abrégera ton destin.
Je dirai toujours par le langage
Du regard, que tu fus un traître
Dont les espoirs étaient des mirages
Qui empoisonnaient ton être.
Dad Allaoua
Ton esprit avait vite tourné
Du coté des choses frivoles,
Emporté par un air étonné
Tu imitas l’oiseau de haut vol.
Tu fus un sombre aigrefin
En peau d’un être ingénu,
Qui crut faire de son destin
Le germe des idées cornues.
Ployant sous les envies infinies
Tu te laissas mener sur l’ombre
De l’ignorance par la folie
Animant la scène macabre.
Homme de caste en quête
De l’excellence trompeuse
Qui eut voulu extraire sa tête
De linotte de la boue crasseuse.
Emporté par une fiction
Tragique, tu te comportas
En finaud par les affronts
Mornes qui ne finirent pas.
Tu n’entendis pas les cris
Des autres, le soleil frôla
Ton corps, mais en ton esprit
La haine horrible s’ancra.
Dans mon profond silence
Tu n’eus jamais su deviner
L’énigme de l’attirance
Qui rendit ton âme peinée
Loin d’oublier la trahison
Des pensées, qui, au fur du temps
Tendit dans ta main le poison
Qui souilla les liens du sang.
Je savais depuis longtemps
Que les roses longeant ton chemin
Seront déracinées par le vent
De panique qui abrégera ton destin.
Je dirai toujours par le langage
Du regard, que tu fus un traître
Dont les espoirs étaient des mirages
Qui empoisonnaient ton être.
Dad Allaoua
Dad Allaoua- Messages : 3599
Date d'inscription : 19/01/2010
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