Nous étions des boucs émissaires
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Nous étions des boucs émissaires
Nous étions des boucs émissaires
Les peines s’étaient envolées
Lorsque on a quitté la nuée noire
Pour rejoindre le ciel étoilé
Où, apparaissaient les espoirs.
Nous étions des boucs émissaires
Aux mains des hommes vilains,
Qui nous offrirent l’antre solitaire
Dans l’ombre d’un futur incertain.
Ils nagèrent en grande eau,
Incultes, visages longs, tyrans
Vils, ils éteignirent le flambeau
D’espérance des gens égrotants.
Les mots planèrent dans l’ombre,
Les astres se mirèrent dans l’océan
Quand le désir essaya de tout vendre,
Pour nous faire tourner le sang.
Contre ces héros sans humanité,
Qui, sans arrêt nous ramenèrent
Sur l’aile du mensonge l’adversité,
On perdit tous nos repères.
Devant ces actes de trahison
Changeant la firme en cimetière
Sans remords, dans nos profonds
Soupirs on sentit trembler la terre.
Tout se mélangea dans notre vision,
Nuage et fumée se confondirent
En nos esprits, au lointain horizon
Les rayons lumineux se fondirent.
On vit les oiseaux de leurre planer
Au dessus des flammes et les serpents
De l’envie glisser sous la fleur fanée
Pour vivre à l’abri de tous les vents.
Dans ces enceintes closes le savant
Vit avec les yeux du crétin et le naïf
Crut lire sur le visage de l’ignorant
Les permisses d’un temps meilleurs.
Dad Allaoua
Les peines s’étaient envolées
Lorsque on a quitté la nuée noire
Pour rejoindre le ciel étoilé
Où, apparaissaient les espoirs.
Nous étions des boucs émissaires
Aux mains des hommes vilains,
Qui nous offrirent l’antre solitaire
Dans l’ombre d’un futur incertain.
Ils nagèrent en grande eau,
Incultes, visages longs, tyrans
Vils, ils éteignirent le flambeau
D’espérance des gens égrotants.
Les mots planèrent dans l’ombre,
Les astres se mirèrent dans l’océan
Quand le désir essaya de tout vendre,
Pour nous faire tourner le sang.
Contre ces héros sans humanité,
Qui, sans arrêt nous ramenèrent
Sur l’aile du mensonge l’adversité,
On perdit tous nos repères.
Devant ces actes de trahison
Changeant la firme en cimetière
Sans remords, dans nos profonds
Soupirs on sentit trembler la terre.
Tout se mélangea dans notre vision,
Nuage et fumée se confondirent
En nos esprits, au lointain horizon
Les rayons lumineux se fondirent.
On vit les oiseaux de leurre planer
Au dessus des flammes et les serpents
De l’envie glisser sous la fleur fanée
Pour vivre à l’abri de tous les vents.
Dans ces enceintes closes le savant
Vit avec les yeux du crétin et le naïf
Crut lire sur le visage de l’ignorant
Les permisses d’un temps meilleurs.
Dad Allaoua
Dad Allaoua- Messages : 3599
Date d'inscription : 19/01/2010
Localisation : KERKERA
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