Suis-je une illusion perdue
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Suis-je une illusion perdue
Suis-je une illusion perdue
Suis-je une illusion perdue entre l’espace
Et le temps ou un éclat que les doutes maculent
Quand le jour trace la voie que la nuit efface
Pour me faire sentir les effets de la canicule ?
Suis-je celui que l’aurore réveille en sursaut
Quand le soleil levant chasse les vieux démons
Pour laisser les signaux traverser mon cerveau
Et la pureté originelle gonfler mes poumons ?
Tout change lentement, tout se régénère,
La vie bascule et reprend son cours
Dans un mélange d’ombre et de lumière,
Qui éloigne et ramène le bonheur du jour.
Face à l’immense océan qui m’environne
J’apprends toujours à manier les rames
Pour pénétrer la vie que le hasard façonne
Sans analyser les circonstances du drame.
En objet flottant entre le ciel et la terre,
Je cherche en toute chose la beauté céleste
Qui conforte mon cœur terrorisé par la peur
De mourir sans saisir ce que je conteste.
Tel un ange, je désire rejoindre le ciel
En emportant sur mes ailes les réponses
Aux énigmes qui perturbent mon éveil
Dans ce paysage couvert de ronces.
Tel l’oiseau qui se cache pour mourir
J’aime à l’abri des regards indiscrets
Me détendre et laisser ma réflexion murir
Sans m’égarer entre l’abstrait et le concret.
J’essaye de sentir la vie dans le sommeil
Pour me délivrer des épouvantes de la nuit
Et avoir la force de chasser l’ogre d’orgueil
Qui enfante en moi le sentiment d’ennui.
Dad Allaoua
Suis-je une illusion perdue entre l’espace
Et le temps ou un éclat que les doutes maculent
Quand le jour trace la voie que la nuit efface
Pour me faire sentir les effets de la canicule ?
Suis-je celui que l’aurore réveille en sursaut
Quand le soleil levant chasse les vieux démons
Pour laisser les signaux traverser mon cerveau
Et la pureté originelle gonfler mes poumons ?
Tout change lentement, tout se régénère,
La vie bascule et reprend son cours
Dans un mélange d’ombre et de lumière,
Qui éloigne et ramène le bonheur du jour.
Face à l’immense océan qui m’environne
J’apprends toujours à manier les rames
Pour pénétrer la vie que le hasard façonne
Sans analyser les circonstances du drame.
En objet flottant entre le ciel et la terre,
Je cherche en toute chose la beauté céleste
Qui conforte mon cœur terrorisé par la peur
De mourir sans saisir ce que je conteste.
Tel un ange, je désire rejoindre le ciel
En emportant sur mes ailes les réponses
Aux énigmes qui perturbent mon éveil
Dans ce paysage couvert de ronces.
Tel l’oiseau qui se cache pour mourir
J’aime à l’abri des regards indiscrets
Me détendre et laisser ma réflexion murir
Sans m’égarer entre l’abstrait et le concret.
J’essaye de sentir la vie dans le sommeil
Pour me délivrer des épouvantes de la nuit
Et avoir la force de chasser l’ogre d’orgueil
Qui enfante en moi le sentiment d’ennui.
Dad Allaoua
Dad Allaoua- Messages : 3599
Date d'inscription : 19/01/2010
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