Rien n’est meilleur qu’un combat juste
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Rien n’est meilleur qu’un combat juste
Rien n’est meilleur qu’un combat juste
Rien n’est meilleur qu’un combat juste,
Qui ouvre à l’âme une porte au ciel
Et au corps un spectacle qu’on déguste
Dans un champ sous l’éclat vermeil
Du soleil luisant et d’un chant universel
Maudissant le racisme et les multiples
Allures hideuses, qui divisent les peuples
Et forment les générations disciples
De la pensée des hommes irrésolus.
Avec vos discours des fous, vous me faites
De la peine. Avec force ! Je vous salue
Sans chercher à vous faire subir la défaite,
Car, dans vos comportements je trouve
Mes sujets, par votre arrogance ma force
S’amplifie, dans vos offenses je retrouve
La stabilité d’un esprit dénuée des entorses.
Vos sens excités entrainent impétueusement
Vos âmes dans l’ombre d’une jalousie piètre,
Faisant de vous les serviteurs d’un acharnement
Atroce, vous demeurerez à jamais le plectre
D’un instrument de musique, que le vent
Actionne dans tous les sens. Ménagez-vous
Je n’aime pas vous voir souffrir de l’inexistant
Ou se mettre à genoux, je n’ai pas ce goût,
Sachez seulement ! Que pour vous, je reste
Un inconnu, un aveugle qui ne sait pas lire,
Un sourd ne pouvant pas entendre vos dires,
Mais, je saisis ! Que parler de la beauté céleste
À des hommes morts est une erreur des sens,
Ce qui est obscur pour vous est clair pour moi,
Vous vous torturer là où se trouve mon aisance,
Mon corps se chauffe là où vous avez froid,
Tout nous sépare, seulement, vous m’épater
De vouloir chercher ce qui vous use en dehors
De vos esprits. Pour vous, je suis un étranger
Qui n’apprécie pas bien la beauté de l’aurore,
Pour moi, vous êtes des êtres étranges venus
D’une autre planète mettre en cause les relations
Humaines par des préceptes obscurs et inconnus,
Qui détruisent à l’homme toutes ses fondations.
Dad Allaoua
Rien n’est meilleur qu’un combat juste,
Qui ouvre à l’âme une porte au ciel
Et au corps un spectacle qu’on déguste
Dans un champ sous l’éclat vermeil
Du soleil luisant et d’un chant universel
Maudissant le racisme et les multiples
Allures hideuses, qui divisent les peuples
Et forment les générations disciples
De la pensée des hommes irrésolus.
Avec vos discours des fous, vous me faites
De la peine. Avec force ! Je vous salue
Sans chercher à vous faire subir la défaite,
Car, dans vos comportements je trouve
Mes sujets, par votre arrogance ma force
S’amplifie, dans vos offenses je retrouve
La stabilité d’un esprit dénuée des entorses.
Vos sens excités entrainent impétueusement
Vos âmes dans l’ombre d’une jalousie piètre,
Faisant de vous les serviteurs d’un acharnement
Atroce, vous demeurerez à jamais le plectre
D’un instrument de musique, que le vent
Actionne dans tous les sens. Ménagez-vous
Je n’aime pas vous voir souffrir de l’inexistant
Ou se mettre à genoux, je n’ai pas ce goût,
Sachez seulement ! Que pour vous, je reste
Un inconnu, un aveugle qui ne sait pas lire,
Un sourd ne pouvant pas entendre vos dires,
Mais, je saisis ! Que parler de la beauté céleste
À des hommes morts est une erreur des sens,
Ce qui est obscur pour vous est clair pour moi,
Vous vous torturer là où se trouve mon aisance,
Mon corps se chauffe là où vous avez froid,
Tout nous sépare, seulement, vous m’épater
De vouloir chercher ce qui vous use en dehors
De vos esprits. Pour vous, je suis un étranger
Qui n’apprécie pas bien la beauté de l’aurore,
Pour moi, vous êtes des êtres étranges venus
D’une autre planète mettre en cause les relations
Humaines par des préceptes obscurs et inconnus,
Qui détruisent à l’homme toutes ses fondations.
Dad Allaoua
Dad Allaoua- Messages : 3603
Date d'inscription : 19/01/2010
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