Retranché dans l’ombre de secrets
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Retranché dans l’ombre de secrets
Retranché dans l’ombre de secrets
Retranché dans l’ombre de secrets
Tu fais passer ta vie sur un miroir
Trompeur, cœur gonflé de regrets
Tu recherches dans ta mémoire
L’ardeur, qui compense ta froideur.
Tristement allongé sur un lit de pavots
Tu contes à celui qui t’écoute l’ardeur
De ta jeunesse. Tu vis avec les mots,
Le physique refuse de te suivre, tout
Se meut dans l’ombre, tu désertes
L’idéal, tu caches les rides de la peau
Et tu laisses ton âme donner l’alerte,
Tes sensations se vident, ton sang coule
Lentement dans tes veines, aimer pour toi
Est un sacrilège, tu enfouis dans la houle
Tes carences, ton corps refuse d’être droit,
Tu trébuches à chaque pas, tes envies
Se glacent peu à peu, la magnificence
Devient ennui, l’avenir trouble ton esprit
Epuisé et envahi par mille croyances,
La douceur te semble brèves et la vie
Devient tromperie. Lorsqu’on voie vieillir
L’autre et l’esprit supplée à la beauté,
Le corps devient insensible aux plaisirs,
Il a les ailes coupées, on ne peut plus
Planer tel un papillon dans les airs
Mais on rampe sur une terre ardue
Avec difficultés tel un ver solitaire.
Dad Allaoua
Retranché dans l’ombre de secrets
Tu fais passer ta vie sur un miroir
Trompeur, cœur gonflé de regrets
Tu recherches dans ta mémoire
L’ardeur, qui compense ta froideur.
Tristement allongé sur un lit de pavots
Tu contes à celui qui t’écoute l’ardeur
De ta jeunesse. Tu vis avec les mots,
Le physique refuse de te suivre, tout
Se meut dans l’ombre, tu désertes
L’idéal, tu caches les rides de la peau
Et tu laisses ton âme donner l’alerte,
Tes sensations se vident, ton sang coule
Lentement dans tes veines, aimer pour toi
Est un sacrilège, tu enfouis dans la houle
Tes carences, ton corps refuse d’être droit,
Tu trébuches à chaque pas, tes envies
Se glacent peu à peu, la magnificence
Devient ennui, l’avenir trouble ton esprit
Epuisé et envahi par mille croyances,
La douceur te semble brèves et la vie
Devient tromperie. Lorsqu’on voie vieillir
L’autre et l’esprit supplée à la beauté,
Le corps devient insensible aux plaisirs,
Il a les ailes coupées, on ne peut plus
Planer tel un papillon dans les airs
Mais on rampe sur une terre ardue
Avec difficultés tel un ver solitaire.
Dad Allaoua
Dad Allaoua- Messages : 3603
Date d'inscription : 19/01/2010
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