Le temps des soupirs (la vieillesse)
Page 1 sur 1
Le temps des soupirs (la vieillesse)
Le temps des soupirs (la vieillesse)
Les ans anéantissent mon âge rêveur
Et absorbent l’énergie de ma jeunesse,
Sur mon visage les rides ôtent la saveur
À mes sens, le corps perd sa souplesse,
J’entends craquer mes os à chaque réveil,
Le sang coule faiblement dans mes veines,
Je me contente de donner des conseils
Et de repasser souvent mes veilles peines.
Mon regard voilé de mille regrets devient
Affranchi du goût, cœur libéré de sa fièvre
Trouve toujours dans la patience le chemin
De la consolation me faisant oublier la guivre,
Qui apparaît à chaque instant qui passe,
Pour ingérer l’ardeur restée dans mon corps
Devenu raide et visiblement moins tenace,
Fragile, il a perdu tous ceux qui font le décor
De ses apparitions flatteuses sur les scènes
Nocturnes, où milles étoiles bouillonnaient
Dans la tête. La revanche de la déveine
Est venue ébranler la lumière, qui rayonnait
En moi. L’existence est devenue dérisoire,
Je m’accrochais en essayant de transformer
Ma vieillesse en sagesse sans déchoir,
Pour cacher les choses m’ayant abimé.
Dad Allaoua
Les ans anéantissent mon âge rêveur
Et absorbent l’énergie de ma jeunesse,
Sur mon visage les rides ôtent la saveur
À mes sens, le corps perd sa souplesse,
J’entends craquer mes os à chaque réveil,
Le sang coule faiblement dans mes veines,
Je me contente de donner des conseils
Et de repasser souvent mes veilles peines.
Mon regard voilé de mille regrets devient
Affranchi du goût, cœur libéré de sa fièvre
Trouve toujours dans la patience le chemin
De la consolation me faisant oublier la guivre,
Qui apparaît à chaque instant qui passe,
Pour ingérer l’ardeur restée dans mon corps
Devenu raide et visiblement moins tenace,
Fragile, il a perdu tous ceux qui font le décor
De ses apparitions flatteuses sur les scènes
Nocturnes, où milles étoiles bouillonnaient
Dans la tête. La revanche de la déveine
Est venue ébranler la lumière, qui rayonnait
En moi. L’existence est devenue dérisoire,
Je m’accrochais en essayant de transformer
Ma vieillesse en sagesse sans déchoir,
Pour cacher les choses m’ayant abimé.
Dad Allaoua
Les ans anéantissent mon âge rêveur
Et absorbent l’énergie de ma jeunesse,
Sur mon visage les rides ôtent la saveur
À mes sens, le corps perd sa souplesse,
J’entends craquer mes os à chaque réveil,
Le sang coule faiblement dans mes veines,
Je me contente de donner des conseils
Et de repasser souvent mes veilles peines.
Mon regard voilé de mille regrets devient
Affranchi du goût, cœur libéré de sa fièvre
Trouve toujours dans la patience le chemin
De la consolation me faisant oublier la guivre,
Qui apparaît à chaque instant qui passe,
Pour ingérer l’ardeur restée dans mon corps
Devenu raide et visiblement moins tenace,
Fragile, il a perdu tous ceux qui font le décor
De ses apparitions flatteuses sur les scènes
Nocturnes, où milles étoiles bouillonnaient
Dans la tête. La revanche de la déveine
Est venue ébranler la lumière, qui rayonnait
En moi. L’existence est devenue dérisoire,
Je m’accrochais en essayant de transformer
Ma vieillesse en sagesse sans déchoir,
Pour cacher les choses m’ayant abimé.
Dad Allaoua
Les ans anéantissent mon âge rêveur
Et absorbent l’énergie de ma jeunesse,
Sur mon visage les rides ôtent la saveur
À mes sens, le corps perd sa souplesse,
J’entends craquer mes os à chaque réveil,
Le sang coule faiblement dans mes veines,
Je me contente de donner des conseils
Et de repasser souvent mes veilles peines.
Mon regard voilé de mille regrets devient
Affranchi du goût, cœur libéré de sa fièvre
Trouve toujours dans la patience le chemin
De la consolation me faisant oublier la guivre,
Qui apparaît à chaque instant qui passe,
Pour ingérer l’ardeur restée dans mon corps
Devenu raide et visiblement moins tenace,
Fragile, il a perdu tous ceux qui font le décor
De ses apparitions flatteuses sur les scènes
Nocturnes, où milles étoiles bouillonnaient
Dans la tête. La revanche de la déveine
Est venue ébranler la lumière, qui rayonnait
En moi. L’existence est devenue dérisoire,
Je m’accrochais en essayant de transformer
Ma vieillesse en sagesse sans déchoir,
Pour cacher les choses m’ayant abimé.
Dad Allaoua
Dad Allaoua- Messages : 3603
Date d'inscription : 19/01/2010
Localisation : KERKERA
Sujets similaires
» Toi, qui restes muet aux soupirs
» Laissons les soupirs plaintifs
» Arrêtez de lâcher des soupirs
» Les soupirs remplacent les sourires
» Les soupirs absorbaient sa jalousie
» Laissons les soupirs plaintifs
» Arrêtez de lâcher des soupirs
» Les soupirs remplacent les sourires
» Les soupirs absorbaient sa jalousie
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|