L’Ogre blanc du désert
Page 1 sur 1
L’Ogre blanc du désert
L’Ogre blanc du désert
Riche, guide et saint à la fois,
Du pétrole ocré, il tire ses lois,
Avec le sable, il signe ses décrets,
Sous son burnous, il garde le secret,
Qui le lie à l’Amérique. Au nom
De la démocratie, il lui paraît bon
D’interdire à la femme de voter
Et au joli rossignol de chanter.
Les puissances le soutiennent,
Sa femme reine est magicienne
À la fois, possède au bord de l’océan
Un château, qui exclue les mécréants
Et permet aux esprits de rayonner
Avec des âmes gaies et passionnées
Dans des nuages noirs et roses
À la fois, pour cacher les choses
Qui réveilleront les consciences
Et ôteront le voile à la magnificence.
Riche, saint et démocrate à la fois !
Il parle avec un cœur enflé de foi,
Dans la force des autres, il trouve
Le glaive qui inonde les fleuves
Par le sang, dans l’auréole solaire
Il dissipe la puissante colère
Du peuple. Heureux ! Il annonce
À l’ONU, j’ai enlevé les ronces
Qui entourent mon beau palais,
J’ai instruit mes fidèles valets
D’interdire les manifestations.
Du ciel, je reçois les orientations,
Exister demeure un blasphème
Qui cause les peines extrêmes
Au royaume. L’Amérique applaudit
bien la majestueuse démocratie
Interdisant aux femmes de voter,
À la population de se manifester
Et à l’enfant d’admirer le soleil
Sans sentir dans son cœur le fiel.
Bizarre ! Maudit et bénit à la foi,
Il trace par les feuilles vertes la voie
Tortueuse et obscure, qui renforce
Sa dictature. À ses éternelles entorses
L’Amérique ferme souvent les yeux
En admirant cet océan gracieux
submerger l’Amérique par un pétrole
Rouge échappant à tout contrôle,
Sauf, à ce sable mouvant qui s’éveille
Pour ouvrir bientôt toutes les oreilles.
Dad Allaoua
Riche, guide et saint à la fois,
Du pétrole ocré, il tire ses lois,
Avec le sable, il signe ses décrets,
Sous son burnous, il garde le secret,
Qui le lie à l’Amérique. Au nom
De la démocratie, il lui paraît bon
D’interdire à la femme de voter
Et au joli rossignol de chanter.
Les puissances le soutiennent,
Sa femme reine est magicienne
À la fois, possède au bord de l’océan
Un château, qui exclue les mécréants
Et permet aux esprits de rayonner
Avec des âmes gaies et passionnées
Dans des nuages noirs et roses
À la fois, pour cacher les choses
Qui réveilleront les consciences
Et ôteront le voile à la magnificence.
Riche, saint et démocrate à la fois !
Il parle avec un cœur enflé de foi,
Dans la force des autres, il trouve
Le glaive qui inonde les fleuves
Par le sang, dans l’auréole solaire
Il dissipe la puissante colère
Du peuple. Heureux ! Il annonce
À l’ONU, j’ai enlevé les ronces
Qui entourent mon beau palais,
J’ai instruit mes fidèles valets
D’interdire les manifestations.
Du ciel, je reçois les orientations,
Exister demeure un blasphème
Qui cause les peines extrêmes
Au royaume. L’Amérique applaudit
bien la majestueuse démocratie
Interdisant aux femmes de voter,
À la population de se manifester
Et à l’enfant d’admirer le soleil
Sans sentir dans son cœur le fiel.
Bizarre ! Maudit et bénit à la foi,
Il trace par les feuilles vertes la voie
Tortueuse et obscure, qui renforce
Sa dictature. À ses éternelles entorses
L’Amérique ferme souvent les yeux
En admirant cet océan gracieux
submerger l’Amérique par un pétrole
Rouge échappant à tout contrôle,
Sauf, à ce sable mouvant qui s’éveille
Pour ouvrir bientôt toutes les oreilles.
Dad Allaoua
Dad Allaoua- Messages : 3603
Date d'inscription : 19/01/2010
Localisation : KERKERA
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|