Je t’aime lorsque tu t’allonges…….
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Je t’aime lorsque tu t’allonges…….
Je t’aime lorsque tu t’allonges…….
Toi qui absorbes l’énergie débordante
De mon corps et reçois l’écho de mes pas
Sous la lumière pâle d’une étoile filante
Et une aurore splendide qui ne finit pas,
Je te promets de vaincre les lassitudes
Qui tentent de dénouer les liens puissants
Me scellant à toi. Je trouve la quiétude
Dans la fatigue et le brouillement du sang
Que tu provoques en moi, de ma sueur
Je t’arrose, sur ta face, je cultive les roses,
Par la rigueur, je dompte ta longueur
Et je savoure bien les belles choses
Que tu ravives fortement dans ma vie.
Je t’aime, lorsque tu couvres du silence
L’esprit et tu changes l’ombre en éclaircie
Pour dissiper mes peines sur la distance
Parcourue, je t’aime lorsque tu t’allonges
Sur l’horizon, je t’aime lorsque tu changes
La fatigue en fraicheur en faisant de moi l’ange
Qui plane dans le ciel sur les flots des louanges.
En toi j’ai saisi le langage d’un ciel étoilé,
J’ai caché la vieillesse dans l’ombre de la nuit,
À toi ! Je reste fidèle, même si tu dévoilais
Sincèrement mes carences par un étrange bruit
Que fasse le cœur, tu me rappelles, que l’âge
Dans l’existence reste toujours le maître,
Que la volonté humaine ne puisse vaincre,
On devra l’apprivoiser dans son propre paysage.
Dad Allaoua
Toi qui absorbes l’énergie débordante
De mon corps et reçois l’écho de mes pas
Sous la lumière pâle d’une étoile filante
Et une aurore splendide qui ne finit pas,
Je te promets de vaincre les lassitudes
Qui tentent de dénouer les liens puissants
Me scellant à toi. Je trouve la quiétude
Dans la fatigue et le brouillement du sang
Que tu provoques en moi, de ma sueur
Je t’arrose, sur ta face, je cultive les roses,
Par la rigueur, je dompte ta longueur
Et je savoure bien les belles choses
Que tu ravives fortement dans ma vie.
Je t’aime, lorsque tu couvres du silence
L’esprit et tu changes l’ombre en éclaircie
Pour dissiper mes peines sur la distance
Parcourue, je t’aime lorsque tu t’allonges
Sur l’horizon, je t’aime lorsque tu changes
La fatigue en fraicheur en faisant de moi l’ange
Qui plane dans le ciel sur les flots des louanges.
En toi j’ai saisi le langage d’un ciel étoilé,
J’ai caché la vieillesse dans l’ombre de la nuit,
À toi ! Je reste fidèle, même si tu dévoilais
Sincèrement mes carences par un étrange bruit
Que fasse le cœur, tu me rappelles, que l’âge
Dans l’existence reste toujours le maître,
Que la volonté humaine ne puisse vaincre,
On devra l’apprivoiser dans son propre paysage.
Dad Allaoua
Dad Allaoua- Messages : 3603
Date d'inscription : 19/01/2010
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