L’hiver absorbe le printemps
Page 1 sur 1
L’hiver absorbe le printemps
L’hiver absorbe le printemps
Ondes formées par la houle,
Marée montante, tempête
Tournante entrainant la foule
Dans l’ombre d’un labyrinthe
D’embarras, oreilles closes,
Langues tranchantes, rosé
Déposée sur corolles des roses,
Silhouettes blanches tracées
Sur un tableau fait d’ombre
Par des êtres sans cœurs
N’appréciant pas le nombre
Des enfants en pleurs
Qui vivent sous les décombres
Des modestes demeures,
Sans connaître la forme du sabre
Ayant décapité leurs pères.
Nuit longue dans une profonde
Admiration, âme envieuse
S’abritant dans une poitrine ronde
Dévorée par les envies fiévreuses
Dans un hiver voilant le printemps
D’une existence éprise de tort
Et de raison, monde fortement
Ebranlé par l’horreur de la mort,
Esprits perdus dans les ténèbres,
Âmes arpentant les cieux,
Etres habillés en peaux de zèbre,
En nous, tout devient vieux !
La douceur devient aigre,
L’odeur du jasmin substituée en venin
Fleurit la fleur sous l’ombre
Mystique d’un destin
Dicté par le non-sens des faits,
Qui s’emparent des nous
Par les sensations et les attraits
De ce magnifique îlot ou
Le papillon lumineux voltige
Fièrement en toute liberté
Près des roses, sans litige
Sans peur, sans être escorté.
Dad Allaoua
Ondes formées par la houle,
Marée montante, tempête
Tournante entrainant la foule
Dans l’ombre d’un labyrinthe
D’embarras, oreilles closes,
Langues tranchantes, rosé
Déposée sur corolles des roses,
Silhouettes blanches tracées
Sur un tableau fait d’ombre
Par des êtres sans cœurs
N’appréciant pas le nombre
Des enfants en pleurs
Qui vivent sous les décombres
Des modestes demeures,
Sans connaître la forme du sabre
Ayant décapité leurs pères.
Nuit longue dans une profonde
Admiration, âme envieuse
S’abritant dans une poitrine ronde
Dévorée par les envies fiévreuses
Dans un hiver voilant le printemps
D’une existence éprise de tort
Et de raison, monde fortement
Ebranlé par l’horreur de la mort,
Esprits perdus dans les ténèbres,
Âmes arpentant les cieux,
Etres habillés en peaux de zèbre,
En nous, tout devient vieux !
La douceur devient aigre,
L’odeur du jasmin substituée en venin
Fleurit la fleur sous l’ombre
Mystique d’un destin
Dicté par le non-sens des faits,
Qui s’emparent des nous
Par les sensations et les attraits
De ce magnifique îlot ou
Le papillon lumineux voltige
Fièrement en toute liberté
Près des roses, sans litige
Sans peur, sans être escorté.
Dad Allaoua
Dad Allaoua- Messages : 3603
Date d'inscription : 19/01/2010
Localisation : KERKERA
Sujets similaires
» Absorbé par la méditation des vérités
» Le printemps
» Laissez le printemps s’embellir
» Je voudrais être le souffle de printemps
» Je voudrais être le souffle de printemps
» Le printemps
» Laissez le printemps s’embellir
» Je voudrais être le souffle de printemps
» Je voudrais être le souffle de printemps
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|